Les startups dites encore non matures ne sont pas en mesure de s'autofinancer et ont recours à des levées de fonds, mais elles ne sont pas les seules à lever des fonds. La levée de fonds est une étape clé dans l’ascension d’une startup. En effet, effectuer une levée de fonds reviendrait à obtenir d’une certaine façon un prêt bancaire rapidement en échange d’un leg d’une part des droits de gestion de l’entreprise.
Une levée de fonds consiste à faire entrer au capital social de sa société des investisseurs qui apportent une contribution financière en échange de quoi, ces investisseurs parient sur une plus-value lors de la revente de leurs parts dans la société quand cette dernière aura pris de la valeur lors de son développement.
Devenu l’argument de réussite au sein de l’écosystème tech français, d’importantes levées de fonds sont annoncées chaque semaine. Cependant, certains investisseurs peuvent se montrer réticents à signer de gros montants à de jeunes entrepreneurs (ou plus vieux) qui viennent tout juste de finir la structure finale (ou non !) de leur projet.
Effectuer une levée de fonds pour son entreprise n’est pas un acte anodin et peut mener à de graves conflits entre associés, fondateurs et investisseurs.
🔎 Exemple : la clause du good/bad leaver est en principe exigée par les investisseurs de la société. Elle permet de maintenir les hommes clés au sein de la société pendant une certaine durée.
Certains investisseurs exigent la souscription de certaines assurances professionnelles pour protéger les associés en cas de problème. La loi n’oblige pas les acteurs de levée de fonds à s'assurer, mais généralement ils le font d’eux même puisque les risques et enjeux financiers sont importants. Même si les médias mettent en valeur les grandes réussites des levées de fonds, cela ne se passe pas toujours de la meilleure des façons et peut conduire à des situations critiques.
Sont incluses généralement dans le pacte d’associés l’assurance responsabilité civile professionnelle, l’assurance responsabilité civile des dirigeants, l’assurance homme clé, mais encore l’assurance chômage du dirigeant.
Autres risques à prendre en compte lors d’une levée de fonds : les cyberrisques et les risques de fraude.
Il est important de prendre en compte l’évolution de la taille de la société pour mettre à jour les montants assurés et les risques auxquels elle s’expose. Les assurances souscrites lors d’une levée de fonds ne doivent pas être vues comme une contrainte, mais plutôt comme une prévention des nombreux risques auxquels une entreprise peut être exposée avec ses fondateurs.
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